ÉM J6/J-46 : on est toujours dans les pancartes

Hier, j’ai donné un coup dans les pancartes. Je suis passé à l’étape «  pancartes sur poteaux » après les « pancartes sur palettes ».

Avec un ami mordu de politique municipale – merci Jean-Claude – et comme mes pancartes sont une ressource rare, on a fait le tour du district pour identifier les meilleurs endroits pour afficher les pancartes de telle sorte qu’un électeur du district 5, dès qu’il sort du district et y revient, tombe nécessairement sur une des pancartes. Je crois qu’il ne sert à rien, sauf tomber dans l’exagération visuelle qu’on peut appeler « pollution visuelle » sans se soucier du sort final réservé à toutes ces pancartes, de poser des pancartes à tous les poteaux dans le cœur du district . Il me semble que cela coule de source. Ainsi, nous avons privilégié les accès Chambly (coté Seigneurial et Boucherville), la Duchesse, De Bienville, Orchard et Beaumont. Six pancartes. Aujourd’hui il en resterait  quatre à poser.

Hormis ma pancarte neutre «  À Saint-Bruno, pour une démocratie forte, je vote » que j’ai affichée hier sur palette à l’entrée par Seigneurial juste après avoir passé la voie ferrée, toutes les autres ont été posées sur des poteaux en bois ou réverbères en alu. Parfois, les autres équipes étaient passées en premier et avaient accaparé la meilleure hauteur. Félicitations! Mais avec mon escabeau de dix pieds, cela m’a permis de m’installer au-dessus d’eux.

Je vous avais annoncé que j’essaierais de ne pas utiliser d’attache nylon. Hélas, je n’y suis pas arrivé pour l’instant, mais je ne jette pas l’éponge. Pour les poteaux en bois, j’ai la solution, mais le défi est plutôt avec les lampadaires lisses en aluminium qu’il ne faut pas abîmer. Une pancarte mal fixée qui descend au sol, ça fait désordre, n’est-ce pas? Et un lampadaire en aluminium abîmé, cela n’est pas acceptable.

Voici quelques photos de cette journée :

Pancarte « JE VOTE » rue Seigneurial, après avoir franchi le passage à niveau
Pancarte chemin Chambly par le boulevard de Boucherville
Pancarte rue Beaumont par le boulevard de Boucherville

Louis Mercier
Indépendant et d’équipe

ÉM J2/J-50

Nouveau code avec lequel vous devrez vous habituer. Cela veut dire « Élections municipales 2e jour et 50 jours à courir d’ici au 7 novembre ». Oui c’est triste comme titre, mais peut-être que les jours passants, on pourra y greffer des mots plus évocateurs et de circonstances.

À Saint-Bruno, aujourd’hui, on a vu fleurir à tous les poteaux disponibles les pancartes de deux partis inscrits. Cela faisait un peu orgiaque. Bien! Aucun doute que les partis politiques ont l’avantage d’avoir des budgets croisés de campagne où le budget du candidat maire vient bonifier celui du candidat district et vice versa.  Pour moi, cela n’existe pas. Je suis condamné, comme je l’indiquais hier à plus ou moins 2 500$. Mais si l’indépendance à un prix pour un candidat, je dirais qu’en contrepartie elle vaut son pesant d’or pour le citoyen.

Quelqu’un me disait : «  On est dans un monde où le mot pollution est sur toutes les  lèvres. N’avons-nous pas un bel exemple de pollution visuelle appuyée par du coroplast à la tonne et des attaches nylon au kilomètre, qui iront droit dans les sites d’enfouissement ». Ça fait réfléchir, n’est-ce pas. Je dois quand même être beau joueur, car j’aurai bientôt quelques pancartes fixées « au pilori consumérisme » appelé poteau ou lampadaire et retenu avec des attaches nylon, à moins que ……..tiens, en écrivant ces mots, j’ai une idée de recyclage qui me passe par la tête pour remplacer les attaches de nylon qui cintrent les pancartes, très souvent en sandwich . Laissez-moi vous épater; à mes risques car je fixe la barre haute.

Je partage avec vous mon 2e jeu de « pancartes sur palettes ». Il est situé à l’angle des rues Beaumont et Montarville qui est un endroit passant. Le proprio m’a donné son autorisation, mais m’a demandé de ne rien fixer aux arbres ni au sol et de laisser les lieux en bon ordre à la fin de la campagne. Je crois que je respecte ses exigences.

Louis Mercier
Indépendant et d’équipe

Élections municipales 2021 : c’est parti!

Comme je vous l’avais annoncé, je me présente aux élections municipales au poste de conseiller dans le district 5 à Saint-Bruno.  Ce blogue était jusqu’à tout dernièrement marqué du nom www.agglomerationlongueuil.ca mais pour les besoins de cette campagne électorale, il a revêtu de nouveaux habits et s’appellera www.mercierstbruno.ca  pour les prochaines semaines jusqu’aux élections du 7 novembre prochain.

Bouchervillois, Brossardois, Lambertois et Longuevillois

Pour ceux et celles qui ne sont pas de St-Bruno, je vous remercie de faire preuve d’indulgence pour les prochaines semaines. Cependant pour une cause qui nous est commune, vous serez intéressés de signer la pétition citoyenne dans www.equiAgglo.ca  à l’onglet J’adhère pour que vous indiquiez aux candidats et candidates dans votre ville que vous souhaitez qu’ils adhèrent à la Charte d’équiAgglo. Déjà des candidats l’ont fait et d’autres sont en instance de validation. L’agglomération de Longueuil, c’est plus ou moins 60% de vos impôts fonciers. Ça compte! Et dites-le!

Montarvillois et Montarvilloises

Ça y est! Ce matin, dès la première heure et j’étais le premier à défiler devant la greffière, j’ai déposé mon bulletin de candidature pour les prochaines élections. J’ai reçu la « bénédiction » et je suis donc un candidat en règle.

Qui dit élections dit pancartes, photos, dépliants, ….. Et tout cela coûte de l’argent. Le problème et c’en est un contraignant, mais qui honore notre démocratie, c’est que je suis plafonné à ± 2 500$ de dépenses. Alors, pour le lancement et déroulement de ma campagne, il faut que je fasse preuve de parcimonie et que je gère le budget de façon serrée.

Déjà pour les pancartes, la facture a un coût de 1 200$, la moitié du budget et, comble de malheur, elles ne sont pas posées. J’ai donc décidé d’y mettre du jus de crâne et du jus de coudes pour limiter la dépense dans la pose. Pour un premier lot de ces pancartes, je vais les poser sur des palettes en mettant deux palettes d’équerre. Il est facile de ramasser sans frais des rejets de palettes qui inondent notre monde de la manutention; Rona en avait une douzaine à donner et j’étais preneur. Aucuns frais sinon un déplacement de 15 km avec ma voiture électrique (5kw/heure consommée soit 0,50$ de carburant à électrons à comptabiliser) et ma remorque. Et pour ne pas abimer la pelouse là où ces œuvres d’art seront installées, il suffira de tirer ces palettes siamoises de quelques centimètres à tous les cinq jours pour faire la rotation.

Marteau, scie, barre à clous, gallon à mesurer, vis, rondelles, palettes désossées, entretoise, visseuse, agrafeuse, écharde, sueur …. voici le résultat de mon premier combo de pancartes que j’ai déployé devant mon domicile.  

Le voisinage a afflué et m’a félicité pour mon approche « recyclage ». Je trouve cela revalorisant.

Le dossier pancarte est donc lancé et le démarrage n’est pas raté. À suivre!

Louis Mercier
Indépendant et d’équipe

PS: remarquez le code QR au bas de mes pancartes; rien à voir avec la covid et le passeport vaccinal. Cela permet aux intéressés d’accéder à ce blogue ou directement à l’onglet Je vote avec un clic de leur téléphone.

Je serai candidat à Saint-Bruno pour un poste de conseiller

Eh oui! j’ai décidé de briguer le poste de conseiller dans le district 5 à Saint-Bruno-de Montarville pour les prochaines élections municipales du 7 novembre prochain.

Vous savez que je m’intéresse à tout ce qui touche à l’agglomération de Longueuil et cela remonte à 2006. D’une part, il y a le vide démocratique de cette structure boiteuse et d’autre part, quand on sait que pour une maison moyenne à Saint-Bruno dont la valeur d’évaluation est 420 000$, 62% des impôts fonciers vont directement à Longueuil, ça se comprend que les efforts doivent être concentrés dans cette direction.  En complément d’information, pour une maison de 315 000$, soit 75% de la maison moyenne, le pourcentage est 58,5% tandis que pour une maison de 525 000$, soit 125% de la maison moyenne, c’est 64,5% qui est refilé à Longueuil.  Tout s’explique. Tout me porte à croire que ces proportions sont du même ordre pour les villes de Boucherville, Brossard et Saint-Lambert.

Pourquoi je fais le saut en politique? En tant que citoyen, il est difficile d’être un acteur d’influence. Conjuguer la vie professionnelle et familiale avec la vie de conseiller est exigeant. Aujourd’hui, ma carrière professionnelle est chose du passé et mes quatre enfants volent de leurs propres ailes depuis longtemps. Trois événements des cinq dernières années, mis bout à bout m’ont convaincu de faire le saut:

  • La mairesse de Longueuil Caroline St-Hilaire: Mme St-Hilaire, je vous l’avoue, a de la classe. C’est une politicienne redoutable. Lors de la séance des questions réservées au public, je l’ai malmenée mais elle savait se défendre. Lors d’une mêlée après une séance d’agglomération que je mettrais dans le temps vers le début de 2017, à la veille des élections 2017, elle m’avait demandé pourquoi  je ne me présentais pas en politique municipale.  Je lui avais répondu que ça ne m’intéressait pas. Aujourd’hui, je qualifierais cette invitation d’un compliment à mon égard – certains parmi vous diront que ça ne prend pas grand-chose pour que ça me monte à la tête.
  • Commentaire d’Isabelle Bérubé, conseillère à Saint-Bruno et candidate au poste de mairesse en 2021:  Isabelle et moi et d’autres personnes avons fait équipe pour la Guignolée. Isabelle savait comment je m’investissais dans tout ce qui touche l’agglomération. J’avais même travaillé un dossier avec elle lorsqu’elle siégeait au RTL que j’ai repris par la suite avec Marilou Alarie mais la covid est venue coller les freins à notre démarche. Isabelle m’avait dit dans des mots qui ne sont pas ceux-ci, entre deux cantiques de Nöel devant une porte où le citoyen d’une des maisons cossues au Sommet Trinité remplissait la boîte de quelques billets de banque, « Pourquoi ne te présentes-tu pas en politique municipale? »
  • La mairesse Sylvie Parent: autant Mme St-Hilaire avait de l’intelligence et de la classe , autant Mme Parent à mon point de vue est dépourvue de ces attributs. Lors du lancement d’ÉquiAgglo, elle a confirmé à nouveau par sa sortie contre ÉquiAgglo, que la démocratie est bafouée au Québec avec les agglomérations et je dois dire que c’est ce qu’il m’a fallu, après m’être remémoré les deux événements ci-dessus, pour me lancer. Gros merci Mme Parent.

Je vous invite, pour ceux que ça intéresse, à lire un article à propos de ma candidature que les Versants ont publié en page 8 de leur numéro du 14 juillet dernier.

Pour conclure, plusieurs de mes lecteurs ne sont pas de Saint-Bruno. Il se peut que ce blogue déroge temporairement de son cap qui est celui de l’agglomération de Longueuil et que certains billets d’ici au 7 novembre soient teintés au couleur de Saint-Bruno. Je présume qu’avec le titre et les premières lignes, vous pourrez facilement passer outre pour ne pas vous embêter.

Pour les Montarvillois, merci de me suivre et éventuellement dans une page Facebook – c’est incontournable – dont je vous donnerai l’adresse plus tard.

Bon été!

Louis Mercier
Citoyen de Saint-Bruno-de-Montarville

Reprise du service pour agglomerationlongueuil.ca et lancement d’ÉquiAgglo

En tout début d’année, je vous indiquais que je devais mettre mon blogue agglomérationlongueuil.ca en mode pause. Vos messages reçus dans la foulée étaient touchants à un point tel que  j’avais l’impression qu’agglomerationlongueuil.ca avait annoncé sa retraite. Pourtant non! C’était bel et bien une pause, comme de longues vacances sans date de retour annoncée.

Aujourd’hui, je vous annonce qu’agglomérationlongueuil.ca reprend du service car le mandat que j’avais avec la ville de Saint-Bruno et que je vous avais annoncé en janvier dernier, a pris fin jeudi dernier après la séance du conseil de l’agglomération de Longueuil.

PS: ce billet est un peu long; vous pouvez passer directement au titre « Ce blogue et ÉquiAgglo ».

Risque de confusion :

Je me suis acquitté de ce mandat avec la ville avec diligence, professionnalisme et rectitude. Vous me direz qu’on ne s’attendrait à rien de moins.   Oui c’est vrai mais quand je formulais mes recommandations, le conseil les suivait largement. De plus, et cela est très agréable, plusieurs membres de conseil m’ont félicité, chacun dans leur mot  et à leur façon et pour certains plus d’une fois, pour la qualité de mon travail.

Il est important de savoir qu’en plus de ce mandat, je travaillais depuis près de deux ans avec Claude Ferguson un citoyen de Saint-Lambert, actuaire de formation comme moi dans un mandat ayant des ressemblances avec celui de la ville de Saint-Bruno. La direction de la ville de Saint-Bruno avait été informé de cette situation; c’est normal, car lorsqu’on accepte un nouveau mandat, il y a lieu de divulguer au nouveau client des situations d’apparence de conflit d’intérêts. Claude Ferguson n’est pas  un inconnu car il a déjà publié un billet dans ce blogue.

Claude et moi avons mis sur pied un modèle d’analyse tarifaire afin de faire ressortir les résultats de ce que seraient les quotes-parts des villes de l’agglomération de Longueuil si des règles plus rigoureuses empruntées à des méthodes de calcul d’adéquation entre la recette et la dépense comparable à une analyse du prix de revient étaient retenues. Ce genre d’exercice est un principe élémentaire du travail d’actuaire. Pensez-à votre résidence : pourquoi une assurance habitation coûte-t-elle plus cher pour une maison que pour une autre? C’est parce que le risque selon l’actuaire n’est pas le même et afin de mutualiser tous ces risques qu’est le fondement du métier d’assureur, l’actuaire doit déterminer la juste valeur assurable pour appuyer ses tarifs offerts au public. Sinon, il se fera « antisélectionner » si une classe de risque est trop « bon marché » parce que le travail d’analyse n’aurait pas bien été fait. À l’inverse, si c’est trop cher pour un genre de propriétés, l’assureur ne vendra pas un seul contrat.

Alors, toujours dans mon exemple de résidence, dans les services offerts par l’agglomération de Longueuil,  il y avait lieu de chercher à  comprendre pour quel motif une maison à Longueuil et une autre à Saint-Lambert, de risque identique en matière de service d’incendie, font l’objet d’un coût plus élevé pour Saint-Lambert que pour Longueuil,  presque du simple  au double.

Je passe des étapes pour ne pas vous endormir, mais compte tenu des résultats criants qui démontraient encore une fois que la grande perdante dans nos calculs est la ville de Boucherville suivi étroitement par Saint-Bruno, Claude Ferguson et moi avons commencé à sensibiliser des élus des villes de Brossard, Saint-Bruno et Saint-Lambert afin qu’ils communiquent entre eux et commencent à travailler ensemble pour faire changer les choses. Nous voulions que cette merveilleuse citation d’Henry Ford qui est « Se réunir est un début ; rester ensemble est un progrès ; travailler ensemble est la réussite »   se traduise par des gestes concrets.

Tout cela a déboulé par une action commune avec le lancement du mouvement ÉquiAgglo le vendredi 7 mai dernier, à six mois pile des prochaines élections municipales. Depuis ce lancement, ÉquiAgglo est sous le feu de projecteurs comme en témoigne la revue de presse que vous pourrez consulter dans le portail d’ÉquiAgglo.

Je saute au point important : ma présence dans ÉquiAgglo créait maintenant une forte apparence de conflit d’intérêts. À juste titre, des membres du conseil étaient inconfortables avec cette situation. Pour ma part, depuis deux semaines, chaque geste posé dans ÉquiAgglo était conditionné par le fait qu’il ne faillait pas que cette apparence de conflit d’intérêts se traduise  par la présence factuelle de conflit d’intérêts. La gestion au quotidien de chaque geste, écrit et communication devenait lourde. De plus, et cela est important, il ne fallait pas que le conseil de la ville de Saint-Bruno soit attaqué par des personnes ou entités dérangées dans leur confort du statu quo par le lancement d’ÉquiAgglo. En l’occurrence, mon client, le conseil de Saint-Bruno en serait sorti affaibli et perdant. En tant que professionnel régi par un code de déontologie, je risquais moi-même de prêter flanc à des attaques.  Cela ne pouvait pas continuer.

Ce mandat est donc terminé et je l’écris avec amertume. C’est la fin d’un très beau mandat, exigeant, car je recevais mensuellement mon document de travail le jeudi et parfois le vendredi et je me donnais comme objectif de transmettre mes recommandations au plus tard le lundi matin suivant pour permettre aux conseillers et conseillères de Saint-Bruno d’en prendre connaissance pour le conseil du lendemain soir. C’était un mandat où il ne faut pas avoir de famille et accepter de travailler les samedis et dimanches. On était tous à la course mais c’était comme cela!

Ce blogue et ÉquiAgglo

Certes je reprends du service, mais ÉquiAgglo est gourmand et chronophage. Pour moi, je dirais qu’ÉquiAgglo et un agglomérationlongueil.ca 2e génération. Quoique différent, la finalité est la même. Si le bandeau d’annonce de ce blogue est : « Un site d’expression citoyenne pour décrier le dysfonctionnement organisationnel de l’agglomération de Longueuil où la population de Brossard, Boucherville, St-Bruno-de-Montarville et St-Lambert est soumise par une ville en position dominante avec la complicité du gouvernement du Québec » celui d‘ÉquiAgglo est : « Pour une agglomération de Longueuil équitable, respectueuse, démocratique, viable, pérenne et imputable ». Pour faire un parallèle, si agglomerationlongueuil.ca a un côté démolisseur avec en tête les plans de ce que devait être le nouvel édifice, ÉquiAgglo se veut celui qui va dessiner les plans et couler la fondation de ce nouvel édifice.

Conclusion

Pour conclure; si aujourd’hui vous voulez continuer à être informé, je vous conseille de vous inscrire au blogue d’ÉquiAgglo. Vous ne vous ennuierez pas – la vidéo da la mairesse de Longueuil, Mme Sylvie Parent de mardi dernier et notre réponse le lendemain par voie d’un communiqué de presse ne sont pas piquées des vers  – d’autant plus qu’en parallèle nous allons connaître six mois de campagne électorale. Pour l’instant, ÉquiAgglo n’a pas de canal pour les citoyens membres qui veulent s’exprimer mais nous y travaillons. Vous pouvez toujours écrire dans le blogue et vous verrez bientôt je l’espère la publication de votre message. Je vous remercie de votre compréhension et patience.

Pour continuer à me suivre, rendez-vous à www.equiagglo.ca et n’oubliez pas de vous abonner dans la page d’accueil tout en bas sous le titre « Inscription au blogue».

Louis Mercier
Citoyen de Saint-Bruno-de-Montarville

 

 

 

 

 

 

 

Le blogue agglomerationlongueuil.ca souffle ses cinq bougies, mais …

… il faut que je le mette en mode pause comme vous le lirez ci-dessous.

Eh oui! Cela fait déjà cinq ans que j’ai lancé mon blogue pour décrier les injustices¸ le manque de légitimité, de transparence et de gouvernance de la ville de Longueuil dans sa gestion de l’agglomération de Longueuil et bien entendu avec la bénédiction du gouvernement provincial sans égard au parti politique au pouvoir.  Merci à vous tous qui m’avez lu.

J’ai été nettement moins prolifique au cours de la dernière année notamment à cause de contraintes professionnelles qui m’ont tenu occupé.  Par la suite, au cours des derniers mois s’est ajouté un mandat particulier que j’ai accepté et qui fera en sorte que mon blogue devra se tenir à l’écart de l’actualité pour une période indéterminée. En effet, le conseil de la ville de Saint-Bruno-de-Montarville a retenu mes services professionnels afin de l’accompagner dans sa gestion stratégique pour tout ce qui touche le volet agglomération qui empoisonne la vie des Montarvillois. La bébitte «agglomération » n’est pas facile à comprendre notamment dans sa formule du calcul de la quote-part et du volet de tarification de ± 35% de la consommation de l’eau, certes une goutte d’eau dans le calcul de la quote-part, mais qui en démontre également toute l’incohérence et la volonté de la part de Longueuil de maintenir sa position dominante dont elle abuse sans aucune gêne ni retenue. Vous comprenez tous que ce mandat m’impose un devoir de réserve et en conséquence la mise en veille de mon blogue.

J’ai accepté ce mandat, car c’est une autre façon de travailler à réformer l’agglomération et j’espère bien que cela fera bouger des choses d’ici aux élections. Je verrai rendue là la suite à donner à cette mission professionnelle d’autant plus qu’il se peut que le nouveau conseil de la ville ne le reconduise pas.

Je termine en vous souhaitant une excellente année 2021 et vous remercie à nouveau de m’avoir lu au cours des cinq premières années de l’existence du blogue agglomerationlongueuil.ca. Vos commentaires et mots d’encouragement ont été réconfortants. On a trouvé des vaccins contre la covid; il ne peut y en avoir contre l’agglomération. Ce qu’il faut, c’est une opération du type chirurgical pour remédier au mal.

À plus tard!

Louis Mercier
Citoyen de Saint-Bruno-de-Montarville

Mme La Ministre : Longueuil s’est fait remonter les bretelles par l’institut C.D. Howe

Comme suite à mon billet de vendredi dernier, j’ai décidé d’écrire à Mme Andrée Laforest, ministre des Affaires municipales et de l’Habitation pour la saisir de la piètre tenue de ses « sujets » lourds, soit Laval, Longueuil et Québec, en ce qui a trait à la piètre présentation de leurs informations financières selon l’Institut C.D. Howe. À cela s’ajoute la contamination que subissent les citoyens de Boucherville, Brossard, Saint-Bruno et Saint-Lambert par Longueuil et L’Ancienne-Lorette et Saint-Augustin-de-Desmaures par Québec, ce qui au total avec Laval, touche presqu’un citoyen sur cinq au Québec. Si on vit cette situation, c’est peut-être entre autres suite au relâchement du contrôle du MAMH qui n’exige plus la production du budget dans la forme prescrite par le MAMH. J’y vais donc un peu plus en profondeur mais pas trop.

Pour ceux qui se sont satisfaits de mon billet de vendredi dernier, n’allez pas plus loin, car je ne veux pas vous écœurer. Je vous souhaite un très beau temps des Fêtes et une excellente année 2020. Au revoir. Louis Mercier.

Pour les  autres, voici la suite.

Si vous voulez de nouveaux faits, points d’analyse, sources journalistiques, etc, etc, lisez ce courriel transmis à la ministre. Je me suis assuré d’inscrire en copie les six députés provinciaux qui couvrent ce territoire :

Les maires et mairesses et conseillers et conseillères des cinq villes liées de l’agglomération de Longueuil ont reçu également une copie de ce courriel.

Si j’ai une réponse de la Ministre , hormis l’accusé de réception automatisé de son ministère que j’ai reçu une fraction de seconde après mon envoi, je vous tiendrai au courant.

À tous chers lectrices et lecteurs, au cas où je ne publierais pas un autre billet au cours des dix prochains jours, passez un beau temps de Fêtes et je vous souhaite une excellente année 2020 ainsi qu’à tous ceux et celles qui vous sont chers.

Louis Mercier,
Montarvillois et fier de  l’être

Longueuil se fait remonter les bretelles par l’Institut C.D. Howe

Le très réputé Institut C.D. Howe vient de publier une étude intitulée « From A to F: Grading the Fiscal Transparency of Canada’s Cities 2019« . Elle classe 31 grandes villes canadiennes pour la qualité de la présentation des informations financières.  Longueuil se classe bonne dernière avec cinq autres villes. Elle obtient la lettre F, la dernière pour une 2e année consécutive. Elle est le cancre de cette classe de 31 villes avec la ville de Québec. Laval s’est joint à ce duo québécois cette année. Je ne sais pas pourquoi l’institut a retenu ce classement avec de lettre de A à F plutôt qu’un classement de 1 à 5 ou une échelle telle que : excellent, très bien, bien, mauvais ou médiocre. C’est fort probablement parce qu’en anglais la lettre F est la première lettre du mot FAIL. Si c’était un institut francophone, l’éventail des lettres aurait été certainement de A à E et le E aurait été pour ÉCHEC sans aucun doute.

Je vais vous donner un exemple tout simple de l’opacité financière de Longueuil, ce qui  fait en sorte qu’un être normal mettrait en doute l’intégrité de la comptabilité bien qu’elle soit correcte en soi, sinon les vérificateurs de la ville seraient dans l’eau chaude pour ne pas dire bouillante.

Quand on étudie les états financiers 2015 de 163 pages de la ville de Longueuil, ils se divisent en gros en trois parties qui se ressemblent. Saint-Bruno en a une seule comme la quasi-totalité des villes. Longueuil en a trois à cause de la présence de l’agglomération :

  • La 3e et dernière partie (page 124 à 163) ne traite que ce qui touche les services locaux de la ville de Longueuil. Ce sont les services locaux de voirie, d’aqueduc, d’égout, de déneigement, les parcs, les activités récréatives,…
  • La 2e partie traite ce qui touche les services de l’agglomération que Longueuil donne. Ce sont la sécurité publique, le service des incendies, l’évaluation municipale, la cour municipale, …
  • La première partie fait le consolidé de tout cela qu’on appelle la ville de Longueuil proprement dite.

Normalement, chaque élément financier est placé dans la 2e ou 3e partie et se retrouve au consolidé dans la première partie. En échapper un serait une faute et faire un double comptage en l’inscrivant à deux endroits serait également une faute.

Pour faire une comparaison, prenons un couple qui tiendrait une comptabilité séparée dans leur ménage :

  • Disons qu’un conjoint termine l’année avec 5 000$ de gain après avoir tout payé et tout provisionné correctement ses choses;
  • Disons que l’autre conjoint termine l’année avec 7 000$ de gain après avoir également tout payé et tout provisionné correctement ses choses;
  • Alors au consolidé, de combien le couple s’est-il enrichi au cours de l’année si on fait une comptabilité commune? Roulement de tambour : la réponse est 12 000$. Si on n’arrive pas à cette réponse, alors on explique les écarts. C’est simple et logique n’est-ce pas.

Alors tenez-vous bien pour les états financiers 2015 de Longueuil :

  • La ville locale (3e partie) a dégagé un excédent de 42 421 472$ ( page 127);
  • L’agglomération ( 2e partie) a dégagé un excédent de 21 825 763$ (page 90);
  • Au consolidé, Longueuil nous annonce un excédent de 13 663 933$ (page 14) et non 64 247 235$ qui serait la somme des deux montants précédents.

Je me suis présenté à la séance de l’agglomération de Longueuil le 16 février 2017 ( voir le chrono qui débute vers 1h 22m 30s) pour exposer ce fouillis financier de déconnexion entre le résultat de l’année des compétences locales, celui des compétences d’agglomération et celui du consolidé. J’ai indiqué que si on avait une structure séparée pour les services de l’agglomération, les citoyens et les élus s’y retrouveraient plus facilement. Comme d’habitude, Longueuil n’a pas répondu à ma question et ne veut surtout pas faire cela pour ne pas prêter à la critique car la transparence permettrait de mieux faire des comparaisons et faire ressortir les iniquités de l’agglomération.

Quand on parle d’opacité et de non-transparence financière, voilà un exemple tout simple et percutant. Je ne dis pas qu’il y a une erreur ou de la magouille. Non! Ce que je dis c’est que c’est de la non-transparence et de l’opacité. L’institut C.D. Howe est du même avis que moi après avoir fait son analyse sous un angle différent.

Aux intéressés qui pensent que Longueuil s’est amélioré, je vous laisse patauger dans les états financiers des années suivantes. Je me suis aventuré dans les états financiers 2017 et les chiffres n’ont ni queue ni tête.

Ce qui est malheureux, c’est que par association, les citoyens de Boucherville, Brossard, Saint-Lambert et Saint-Bruno deviennent des victimes par leur appartenance forcée à l’agglomération de Longueuil où la ville centre de Longueuil leur rend des services comme tout le monde le sait, à un coût trop cher payé.

Lorsqu’on regarde à la grandeur du Québec, c’est près d’un citoyen sur cinq qui vit dans une ville ou est associé à une ville où il y a une « délinquance » financière. Si j’étais le MAMH, il me semble que je m’activerais avec énergie pour remédier à cette situation.

Si vous souhaitez lire d’autres articles dans l’actualité à ce sujet, voici des références :

Louis Mercier,
Citoyen de Saint-Bruno-de-Montarville

Molson Coors : Canettes c. Bouteilles

Pierre Sénécal, qui a publié quelques billets dans mon blogue, a transmis à l’hebdomadaire Courrier du Sud une lettre d’opinion intitulée : « L’arrivée de Molson, une si bonne nouvelle ». Je vous laisse découvrir son opinion de deux façons pour ceux qui ne reçoivent par la copie imprimée :

Toujours dans le dossier Molson Coors, je n’ai rien de nouveau pour l’instant dans la démonstration que je veux étoffer sur les effets négatifs pour les villes reconstituées de l’agglomération avec la venue «à rabais » de Molson Coors orchestrée par Longueuil. Et pour cause , car j’essaie toujours d’obtenir un budget détaillé de Longueuil qui se fait tirer l’oreille.

Bonne lecture.

Louis Mercier,
Citoyen de Saint-Bruno-de-Montarville

Molson Coors : Longueuil en mode panique

Longueuil réagit à une communication que j’avais envoyée le 20 novembre dernier à l’hebdomadaire Courrier du Sud et que ce dernier a publiée beaucoup plus tard, soit le 10 janvier dernier, dans la section Opinions. De plus, le Courrier du Sud a dû résumer ce que je leur ai envoyé pour que le texte respecte leurs normes d’édition.

Je tenterai d’être bref. Dans un premier temps, rappelons la chronologie des événements que vous pouvez court-circuiter pour ceux qui ont suivi le dossier à ce jour à l‘exception de la toute récente lettre de Mme Sylvie Parent, mairesse de Longueuil, parue il y a quelques jours et que je référence au point 5 ci-dessous.

  1. Billet publié dans mon blogue le 16 novembre dernier intitulé: « Molson Coors : Longueuil va trinquer aux frais de l’agglomération » . Ce billet a été la bougie d’allumage de l’intérêt porté à ce dossier par plusieurs citoyens et journalistes. La mairesse de Longueuil, les membres de son parti et les fonctionnaires de Longueuil ont eu connaissance de ce billet dans sa totalité;
  2. Ce qui suit est un extrait d’un courriel que j’ai transmis le 18 novembre, deux jours plus tard, à Les Versants avec en copie le Courrier du Sud, Mme Doreen Assaad, mairesse de Brossard et M. Martin Murray, maire de Saint-Bruno pour les informer de l’existence de mon billet dans mon blogue. J’écrivais à propos du billet du 16 novembre paru dans mon blogue : «  ….. mais je crois qu’il est important que ceux qui ne sont pas branchés à l’internet comprennent l’enjeu qui s’en vient. Vous en êtes le relais. Je sais que le sujet est complexe, mais aujourd’hui quand une ville comme Brossard consomme 1/3 moins d’eau que les autres et n’en retire pas d’avantages, « ça me fait suer ». La mairesse de Brossard devrait menacer l’agglo de débrancher tous les compteurs à Brossard si la formule de quote-part ne change pas. C’est socialement inacceptable! …. »;
  3. Dans son numéro du 10 janvier, il y a une dizaine de jours, le Courrier du Sud reprenait mon billet du 16 novembre après un peu moins de deux mois, et en faisait un résumé pour publication dans leur section Opinions page 6. Le même titre a été retenu. C’est Pierre Sénécal que vous connaissez, car il a publié quelques billets dans mon blogue qui m’a informé par courriel le vendredi 12 janvier de la parution de « ma lettre ». En passant, je ne reçois pas chez moi le Courrier du Sud et ne le suis pas, car ce n’est pas notre hebdo régional qui est Les Versants.;
  4. La riposte ne s’est pas fait attendre. C’était probablement la panique à Longueuil. La mairesse de la ville de Longueuil a vite fouetté ses troupes au premier jour, demandé aux quelques cerveaux techniques qui comprennent comment fonctionne le calcul de la quote-part et la facturation de la consommation d’eau au volume de pondre une réponse. Envoi ensuite aux « communicators », comme les appelait David Penven , journaliste des années 2000 au Journal de Saint-Bruno, afin de faire un message percutant, pas trop long, juste assez précis pour qu’on ne puisse pas se faire accuser de ne pas dire la vérité, mais assez imprécis pour rouler 99% des lecteurs dans la farine. Enfin, envoi au Courrier du Sud avant l’heure de tombée pour parution la semaine suivante.
  5. Le Courrier du Sud publie dans son numéro du 17 janvier la réponse de la ville de Longueuil sous le titre « Arrivée de Molson : c’est toute l’agglomération qui y gagne ». Notez que le Courrier du Sud rappelle Longueuil à l’ordre selon moi car il tente de me dénigrer sur le fait que je n’utilisais pas des données à jour disponibles le 6 décembre.  Longueuil savait que ce qui était écrit le 10 janvier était un résumé de mon billet du …. 16 novembre où j’ai pris soin d’établir un calcul avec des hypothèses de travail faute de renseignements précis. Ce n’est pas très correct de la part de Longueuil d’écrire cela. Je vais prendre les mots de Longueuil pour qualifier leur geste:  » C’est tous simplement être de mauvaise foi« .

Je dois à ce stade-ci préciser les points suivants:

  • Dans l’analyse de ce dossier qui est complexe, j’ai reçu des renseignements que j’ai demandés à Longueuil et je n’ai pas terminé de les étudier;
  • Vous devez savoir que ce genre de dossier est chronophage. Je suis seul à l’étudier contrairement à la ville de Longueuil qui a une armée de fonctionnaires payés par nous qui obéissent au quart de tour sous la férule des politiciens de Longueuil;
  • J’ai encore une charge professionnelle et mes clients doivent être servis en priorité. La vie agglomérative passe en second;
  • J’ai demandé d’autres renseignements à la ville de Longueuil dont une dernière demande lundi 15 janvier, deux jours avant la parution de la réponse de Longueuil;
  • Avec l’annonce par Longueuil dans leur réponse, d’une économie de 1M$ pas année pour Boucherville, Brossard, Saint-Bruno et Saint-Lambert, ça va déclencher d’autres demandes de ma part, car je présume que Longueuil a bien étoffé son dossier et saura le défendre. Voudra-t-elle le partager?
  • En ce moment, il y a un seul point sur lequel je suis d’accord en bonne partie avec Longueuil. C’est dans la première partie de la phrase où Longueuil écrit : « Les opinions politiques de M. Mercier quant à l’existence de l’Agglomération de Longueuil sont bien connues et l’on ne saurait le qualifier d’observateur objectif». Cette assertion a sa contrepartie et je peux écrire sans risque de me tromper que « Les opinions de Mme Sylvie Parent quant à l’existence de l’agglomération de Longueuil sont bien connues et il ne fait aucun doute qu’elle est en conflit d’intérêts dans son rôle de mairesse d’une ville qui tient en otage quatre autres villes afin de favoriser ses propres citoyens au détriment des autres en s’appuyant sur une loi qui n’a aucune légitimité ». Il faut se rappeler qu’en 2017, 84% de la population de Brossard. Saint-Bruno et Saint-Lambert était favorable à la tenue d’une consultation populaire concernant la sortie des trois villes de l’agglomération de Longueuil. Je ne suis pas un cas isolé, mais je prends le temps lorsqu’il m’en reste pour exprimer ce que des milliers de gens pensent tout bas.

Voilà où nous en sommes en ce dimanche 21 janvier. On m’a demandé si j’allais répondre à Longueuil. Bien sûr que je le ferai; cependant, ce sera plus tard, car je n’ai pas terminé mon analyse et j’attends des réponses de Longueuil et il y en aura d’autres, comme je l’ai indiqué ci-dessus. Je souhaite analyser ce dossier avec toute la rigueur qui m’a animée au cours de ma carrière professionnelle et je ne veux pas tomber dans le piège des commentaires simplistes comme le font trop souvent les politiciens qui ne comprennent pas les dossiers techniques et qui commentent les chiffres à gauche et à droite. Mme Sylvie Parent, mairesse de Longueuil, fait hélas partie de ce lot de personnes et je me souviens d’interventions de sa part, notamment le 8 décembre 2016 sur la suspension de l’indexation automatique des rentes versées aux retraités selon la Loi favorisant la santé financière et la pérennité des régimes de retraite à prestations déterminées du secteur municipal et ensuite le 19 janvier 2017 suite à une de mes questions en séance de conseil d’agglomération . C’était désolant.

Donc, l’analyse est importante et les commentaires superflus. Je termine avec cette citation qui n’est pas la mienne et que j’ai reprise de M. Richard Perron, président du SPGQ , qui ne s’en déclarait pas l’auteur: « Les chiffres peuvent être aux commentateurs ce que les lampadaires sont aux personnes en état d’ébriété : ils peuvent parfois servir plus à s’appuyer aveuglément qu’à éclairer. »

Dossier à suivre, chers fidèles lecteurs et lectrices. Merci de votre patience.

Louis Mercier,
Citoyen de Saint-Bruno-de-Montarville