Saint-Bruno et Les Trois Accords : merci à nos Gaulois montarvillois

C’est sur une toute autre note que je vous écris ce billet. Il y a un an, mes enfants m’ont fait découvrir la chanson du groupe «  Les Trois Accords » qui s’intitule « Saint-Bruno ». Certains diront que j’étais pas mal en retard pour la découverte mais que voulez-vous que je vous dise, on a souvent son propre répertoire de chansons du passé qu’on fait jouer parfois en boucle et quand on vieillit, on est un peu plus hermétique, rébarbatif à la nouveauté (faute avouée, faute pardonnée j’espère).

Samedi dernier, le groupe Les Trois Accords s’est produit à St-Bruno et à lire l’article de l’hebdo Les Versants, « ils ont cassé la baraque ». Ils ont terminé le  spectacle avec leur chanson la plus attendue de la soirée « Saint-Bruno (Nuit de la poésie III) ». Il y a peut-être parmi vous des retardataires comme moi; alors voici les paroles de cette chanson.

Le lendemain de la veille

Quand la nuit remit son manteau

Les étoiles entre elles

Formaient une flèche dans le ciel

De Saint-Bruno oh oh oh oh oh

De Saint-Bruno oh oh

De Saint-Bruno oh oh oh oh oh

De Saint-Bruno oh oh

 

Tout est devenu clair comme un cerf

Qui voit la lumière sur une auto

Il y a un endroit où les rêves

Poussent tous en tas où tout est beau

J’ai un nouveau plan et il

M’emmène directement à Saint-Bruno

À Saint-Bruno oh oh

À Saint-Bruno oh oh oh oh oh

À Saint-Bruno oh oh

À Saint-Bruno oh oh oh oh oh

À Saint-Bruno oh oh

 

Arrive là-bas la foule

Me fera des topes-là et des allos

Ils taperont des mains amassées

Le long du chemin qui mène en haut ho ho

Ce sera la folie le plus beau

Jour de toute ma vie à Saint-Bruno

À Saint-Bruno oh oh oh

 

Et dans les décibels

En dessous des lumières en halo

Je monterai vers le ciel

Sachant que je me rapproche d’elle

À Saint-Bruno oh oh oh oh oh

À Saint-Bruno oh oh

À Saint-Bruno oh oh oh oh oh

À Saint-Bruno oh oh

À Saint-Bruno oh oh oh oh oh

À Saint-Bruno oh oh

À Saint-Bruno oh oh oh oh oh

À Saint-Bruno oh oh

À Saint-Bruno oh oh oh oh oh

À Saint-Bruno oh oh

À Saint-Bruno

Pour entendre cette chanson dans sa totalité, voici un lien dans Youtube.

Après l’avoir écouté à quelques reprises en boucle (ça y est, elle fait partie de mon répertoire maintenant), je me suis dit que cette belle chanson n’aurait jamais existé si en 2002-2004, des gens de Saint-Bruno ne s’étaient pas levés debout pour dire leur désaccord haut et fort sur les fusions forcées et leur volonté de se battre pour retrouver leur belle ville de Saint-Bruno-de-Montarville.


Je voudrais, avant que le temps vienne effacer la mémoire du passé, dresser une liste des gens qui ont donné de leurs temps pour défusionner St-Bruno et lui redonner son statut de ville bien qu’imparfait, mais on a une ville. Cette liste, je l’ai rédigée de mémoire et avec des photos que j’avais prises à l’époque. Elle est classée par lettre alphabétique mais comme il faut rendre à César ce qui est à César, j’ai écrit en premier les cinq noms suivants : Ginette Durocher, Claude Durocher, Michel de Grand Pré, François Lépine et André Bergeron que j’ai reclassés par la suite dans la liste. Sans ces cinq personnes, je crois que le portrait des villes et municipalités du Québec ne serait pas ce qu’il est aujourd’hui et la chanson St-Bruno du groupe Les Trois Accords n’aurait jamais existé. Ces noms sont: 

 

Denis Arpin

Jean-Claude Beaudoin

Claude Beaulac

Colette Beaulac

André Bergeron

Dany Bérubé

Jean-Claude Bergeron

Marcel Boisvert

Lucie Boisvert

Raynald Charland

Rachel Charland

Jacques Chénard

Éloi Deslières

Denise Dulude

Pierre Dulude

Claude Durocher

Ginette Durocher

Micheline Gagnon

Lynn Gannon

Bernadette Girard

Jacques Goudreault

Bruno Goulet

Helen de Grand Pré

Michel de Grand Pré

Jean-Guy Jodoin

Madeleine Juhos

Urbain Lacasse

Réjean Langlois

François Lépine

Charles Leroux

Marc Losier

Louis Mercier

Bernie O’Dowd

Gisèle Morgan

Keith Morgan

Jacques Plante

Jean Richard

Jacques Savoie

Paul St-Amand

André St-Louis

Jean-Louis Tétrault

Robert Thivierge

Marc Turgeon

Pierrette Vincent

Terry Wood

 (NDLR: la liste s’est déjà allongé depuis mon premier jet)

Je lance un appel à tous pour qu’on enrichisse cette liste.

Il y a une campagne en cours qui s’intitule « On paie trop pour Longueuil ». Plus de 80% des gens sondés sont prêts à voter dans le cadre d’un référendum pour demander de sortir de Longueuil si l’agglomération n’est pas réformée. Les résultats de ce sondage seront divulgués plus tard mais vous pouvez déjà lire les articles dans  Les Versants  ou Le Courrier du Sud  pour en apprendre plus. Au cours des prochains huit mois, d’ici aux élections municipales de novembre, il faut recréer non seulement à Saint-Bruno mais également à Boucherville, Brossard et Saint-Lambert un mouvement intense pour que leurs citoyens disent haut et fort qu’ils en ont assez d’être traités comme des citoyens de 2e rang et que le gouvernement cesse de pratiquer la discrimination à notre égard et nous donne des droits et une structure comparable à celles de MRC du Québec.

Louis Mercier,
Citoyen de Saint-Bruno-de-Montarville et c’était mon choix le 20 juin 2004

Séance de l’agglomération de Longueuil à venir jeudi 16 mars

Je vous rappelle que c’est jeudi dans trois jours que se tiendra la prochaine séance du conseil de l’agglomération de Longueuil. Je serai présent. Je vous invite à venir mesurer la « proximité des élus avec la population » car, comme le veut le gouvernement central à Québec avec son projet de loi 122, « Longueuil offre des services de proximité aux citoyens ». Ah oui! La séance est à 16 heures. Désolé pour les travailleurs et travailleuses et les papas et mamans de jeune famille.

J’attends toujours le rapport final du cabinet Raymond Chabot Grant Thornton (RCGT) intitulé dans sa version projet: « Analyse de l’efficacité et du coût des activités de l’agglomération ».  Comme je l’ai indiqué dans mon dernier billet intitulé « Longueuil et ses tromperies« , Longueuil doit être dans une impasse pour ne pas afficher le rapport final après quatre mois de la publication du rapport préliminaire du 10 novembre 2016, d’autant plus  qu’ils ont en main le rapport final depuis un mois et demi. Encore pire, ils désinforment en laissant le rapport préliminaire dans la page en français du site.

J’ai demandé ce rapport final par la loi de l’accès à l’information. On ne me le donne pas et on ne me dit pas pourquoi. Longueuil ne répond plus à mes demandes. Pour les habitués des séances de conseil, on verra jeudi prochain quelle réponse Longueuil va nous donner pour tenir ce rapport secret, annoncé en novembre avec tambours et trompettes .

Il y aura d’autres intervenants qui auront des questions en espérant que Longueuil fera preuve de démocratie et répondra aux questions qui leur sont posées.  Trop  souvent, ils abusent du droit et ne répondent pas aux questions ou donnent des réponses vaseuses ou évasives de politiciens et politiciennes qui alimentent le cynisme à leur égard.

En passant, si vous avez une question,  je peux la poser pour vous. Je l’ai déjà fait pour un Montarvillois à la séance du 16 février dernier (voir la captation vidéo  au chrono de 1h 28 min). C’est très simple comme procédure.

À jeudi.

Louis Mercier,
citoyen de Saint-Bruno-de-Montarville

Longueuil et ses tromperies

Avec les frasques du président Trump qui tournent souvent aux mensonges, ne pensez pas que je vais vous entretenir de ses « trumperies ». Non, je reste bien au niveau municipal et agglomératif pour vous mettre à jour dans les « tromperies » qui ont cours à la ville de Longueuil dans sa gestion de l’agglomération.

Première tromperie :  Le 12 février dernier, j’ai écrit un billet intitulé « Longueuil s’adonne à des techniques d’hameçonnage et de harponnage au détriment de l’agglomération ». Ça continue. Le site n’a pas été corrigé. C’est quand même scandaleux. Et la mairesse de Longueuil qui vient voler maintenant le haut de cette page « économique » de l’agglomération de Longueuil avec le projet « Longueuil centre-ville 2035 ». Combien ça va coûter tout cela aux résidants des villes reconstituées qui ont leur propre centre-ville à gérer et à défrayer?

Son discours devant la chambre de commerce de l’industrie de la Rive-Sud et repris dans cette page, est réservé à « Longueuil Ville », mais lorsqu’il faut un coup de pouce pour bien paraître, elle va chercher dans l’agglomération les éléments pour tonifier son discours. Incroyable! Elle n’en a que pour sa ville. Elle demande un chèque en blanc. Nous n’avons pas besoin de Longueuil et Longueuil a besoin de nous. Désolé, mais ça ne m’intéresse pas. Si Longueuil veut rayonner selon ses ambitions, elle a selon moi les moyens de le faire SEULE.

Deuxième tromperie :  Quand on clique dans le site internet sur la tuile « Agglomération Longueuil » à deux reprises ( je sais, c’est un fouillis ce site de l’agglo dans le site de la ville), on tombe sur la page centrale qui, plutôt que d’être informative sur ce qu’est l’agglomération, continue à afficher le rapport préliminaire du 12 novembre du cabinet Raymond Chabot Grant Thornton (RCGT) intitulé : « Analyse de l’efficacité et du coût des activités de l’agglomération ». Longueuil doit être dans un cul-de-sac en sac à papier pour ne pas afficher le rapport final après quatre mois. Un rappel des faits (pas des faits alternatifs) :

  • Le 30 octobre 2016, article dans La Presse.ca qui s’assoit sur un communiqué de presse de Longueuil, je présume, pour répliquer au mouvement de « On paie trop pour Longueuil ». Du texte de remplissage qui se démolit facilement par tout individu qui comprend les organisations de travail. D’ailleurs, si les MRC sont si mauvaises dixit Longueuil, pourquoi alors le gouvernement du Québec les a-t-il mises en place à la grandeur du Québec ? Et si elles étaient autant déficientes, pourquoi ne les remplace-t-il pas par des agglomérations?
  • On annonce dans cet article du 30 octobre la tenue d’une séance d’informations pour bientôt.
  • Rapport préliminaire du 10 novembre 2016 du cabinet Raymond Chabot Grant Thornton (RCGT) intitulé ; « Analyse de l’efficacité et du coût des activités de l’agglomération», publié dans le site de la ville de Longueuil. Longueuil affiche dans son site un titre trompeur soit  « le rapport complet » plutôt que «le rapport préliminaire ».
  • La séance d’information annoncée a eu lieu le 22 novembre. J’y étais comme bien d’autres pour décrier non pas la qualité du rapport, mais plutôt pour soulever que le rapport ne répondait pas à la question qui était posée, soit le coût des activités de l’agglo pour les citoyens. La ville de Longueuil s’est fait démolir, tailler en pièce par une poignée de citoyens. De plus, Longueuil a enregistré la soirée à l’insu des participants et peut-être filmé, sans nous prévenir à l’avance. Il a fallu que je prenne d’assaut le micro pour leur faire avouer cet entorse à la démocratie lors de la séance du conseil d’agglomération du 19 janvier dernier. « L’écoute » à Longueuil semble être une mot dont la signification n’est pas celle que nous souhaiterions. Je vous renvoie au  dernier billet de Frédérick Bastarache-Ouellette intitulé ; » L’agglomération de Longueuil: une instance anti-citoyenne?« .
  • Au cours du mois de décembre, j’ai eu une correspondance très nourrie avec M. Nicolas Plante, le chargé de compte de RCGT et signataire du rapport précité, sur plusieurs points de son rapport. Dans un courriel du 29 novembre dernier, je lui ai soulevé pas moins de 20 points à revoir dans son rapport.
  • Le 22 janvier, trois jours après la séance du conseil de l’agglomération où on a fait avouer à l’arraché qu’on avait été écouté et filmé, je demande au service d‘accès à l’information le rapport final de RCGT. On me répond le 3 février ceci : « Au terme des recherches effectuées dans le cadre du traitement de votre requête, nous constatons que le document demandé est en cours d’élaboration». Or, cela est erroné (pour ne pas dire mensongé car il se peut que la main gauche ne savait pas ce que la main droite faisait). En effet, je sais d’une source sûre que le rapport final a été produit dans la semaine du 30 janvier. Il n’est donc pas en cours d’élaboration.
  • En ce 6 mars 2017, quatre mois et une semaine après le communiqué de presse de Longueuil qui a donné le titre «Ce n’est pas l’agglomération qui coûte trop cher!» à un article dans La Presse.ca  et que Longueuil a repris dans son site pour bien paraître, le site internet de l’agglomération affiche toujours une tromperie avec un rapport préliminaire qui n’est pas le « rapport complet ». Longueuil trompe la population avec le site de l’agglomération. De plus, comment se fait-il qu’elle n’a pas pris soin de traduire en anglais après quatre mois cet ajout dans cette page de son site, quand on voit que tout le reste du site est méticuleusement traduit en anglais. Cela démontre l’absence du caractère informatif du site de l’agglomération qui est maintenant utilisé pour les fins de la ville de Longueuil uniquement.

Louis Mercier,
Citoyen de Saint-Bruno-de-Montarville

L’agglomération de Longueuil : une instance anti-citoyenne ?

Le billet qui suit est signé par un Bouchervillois; il s’ajoute à ceux de deux Lambertois qui ont déjà été publiés dans mon blogue. Je salue cette initiative et tout citoyen qui veut s’exprimer par écrit, Longueuillois compris, est invité à le faire.

Louis Mercier
Montarvillois, demi-citoyen d’un gouvernement de proximité

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On se pose toujours la question si notre palier de gouvernement municipal est constitué favorablement pour les citoyens et ses intérêts. Cette question est d’autant plus importante quand il y a d’importantes sommes qui sont concernées.

L’agglomération de Longueuil dit « non » à ses citoyens

Lors d’une séance publique du conseil d’agglomération de Longueuil du 16 février 2017, à la réponse à la question posée par un citoyen où une requête a été soumise aux élus pour adapter le déroulement des séances publiques pour tenir compte de la réalité des citoyens, la mairesse de Longueuil, Caroline Saint-Hilaire, a refusé la proposition de tenir les réunions publiques durant la soirée.

En l’espèce, un message clair a été soumis aux citoyens avec cette décision. Il n’est pas de l’intérêt de l’agglomération de Longueuil de s’adapter aux impératifs des citoyens et de pouvoir encourager la participation citoyenne en cette instance.

Les citoyens qui doivent rester au travail, les parents qui doivent aller chercher leur enfant à la fin de la journée, les personnes qui doivent affronter l’heure de pointe pour revenir à la maison ne peuvent tout simplement pas faire une entorse à leur horaire pour suivre les travaux de l’agglomération.

En l’occurrence, on laisse entrevoir une poursuite du concept qui veut que le conseil d’agglomération consiste en une instance pour les élus et les fonctionnaires.

Ce constat, bien regrettable en l’occurrence, ne laisse guère le choix aux citoyens que de militer pour de justes considérations et une vaste campagne de démocratisation de l’instance. La transparence et la reddition de compte passent, impérativement, par une adoption d’une culture de proximité avec les citoyens.

D’autres bévues d’agglomération

N’étant pas la seule chose répréhensible de la part de l’agglomération, il s’avère qu’il y a d’autres malaises que nous pouvons vivre quand nous décidons d’assister à une séance de ce conseil ou pire, poser une question devant le lutrin.

a) La surveillance malsaine du service des communications de la ville de Longueuil

Oubliez la tranquillité d’esprit dans cette salle, des employés du service des communications de la ville de Longueuil rôdent dans les recoins de la salle du conseil. Ils scrutent, à la loupe, les faits et gestes des gens pour assurer un contrôle politique du déroulement de la séance. Les pratiques de ce service peuvent aller par le pillage d’information par l’écoute des conversations que des citoyens peuvent avoir entre eux ou avec des journalistes, de conseiller les élus de Longueuil en temps réel lors de l’assemblée afin d’offrir, en permanence, un service de relation publique, la surveillance du mot à mot des paroles des citoyens afin de tout rapporter aux instances de la ville de Longueuil pour fins de stratégie communicative et de contrôle du message, bref, on a une drôle d’impression d’être dans une salle d’interrogation policière.

b) L’impossibilité d’échanger avec les élus du conseil d’agglomération

Une autre chose à oublier, ce sont les échanges entre les élus et les citoyens. Le mot d’ordre, «posez vos questions et assoyez-vous». Aussi déplorable soit cette situation, elle ne contribue pas à un sentiment de bonne relation avec nos représentants et elle contribue à une culture de reddition de compte défaillante. On croirait que ces élus (mettant la culture politique longueuilloise sur le banc des accusés) ont perdu le sens élémentaire d’être au service du peuple et que les employeurs véritables sont les citoyens. Je me demande si les fondateurs de la politique de régie interne et ceux qui l’applique savent ce que c’est la démocratie.

c) Cas personnel de censure et d’archaïsme

Rangez vos appareils électroniques, vous n’êtes pas autorisés à filmer ni à photographier la salle. Vous n’êtes pas autorisé, non plus, d’apporter un support visuel à vos publications Facebook comme quoi vous êtes présent, en direct, à la séance du conseil d’agglomération. Si vous êtes pris sur le fait, vous êtes immédiatement remis à l’ordre par du personnel de la ville de Longueuil. Juste pour des fins de contrôle du message, l’agglomération de Longueuil est reléguée à une époque passéiste, désadaptée à l’époque des réseaux sociaux et de la nouvelle génération… révoltant constat.

L’impact de l’agglomération dans vos vies

Représentant, en moyenne, une somme totale de 45 % du budget annuel de la ville, les dossiers traités par l’agglomération sont les services de police et de pompier, le transport en commun, l’approvisionnement en eau, les collectes résiduelles, l’évaluation foncière, la gestion des cours d’eau, le logement social et l’aménagement urbain, tous des sujets qui ont un impact direct dans la vie quotidienne des citoyens.

Étant donné l’importance des sujets et des enjeux, il importe de pouvoir dresser une relation de proximité avec les citoyens et des impliquer dans les dossiers. Cette proximité entre les acteurs vise, entres autres, à faire une culture de confiance plus solide entre les acteurs, notamment à lutter contre le cynisme ambiant à l’endroit de la politique en général.

Voie à suivre

M’attaquant à la forme de cette instance, je suis d’avis qu’elle est anti-citoyenne et qu’elle n’encourage pas la croissance de l’intérêt citoyen à son endroit. Par la présente, je me positionne de manière assez claire contre cette instance puisqu’elle viole mes valeurs profondes de démocratie et d’esprit civique.

Il importe de revoir, drastiquement, les règles de régie interne et les pratiques afin de voir poindre une orientation vers la démocratie telle qu’elle est ainsi conceptualisée.

Frédérick T. Bastarache-Ouellette, Bouchervillois