Les municipalités sont des gouvernements de proximité. Ah oui!

La semaine dernière, je publiais un billet de Pierre Sénécal sur la consultation publique et le projet de loi 122 qui s’intitule : « Loi visant principalement à reconnaître que les municipalités sont des gouvernements de proximité et à augmenter à ce titre leur autonomie et leurs pouvoirs ». Ce titre du projet de loi me scandalise au plus haut point en tant que Montarvillois et devrait scandaliser autant les Brossardois, Bouchervillois et Lambertois.

Comment le gouvernement central à Québec (GC) peut-il écrire une telle chose mensongère pour les villes reconstituées. Pour la moitié de nos compétences en tant que « gouvernement de proximité », nous sommes FORCÉS, OBLIGÉS de sous-traiter ce nouveau rôle à Longueuil, très loin de notre réalité. Terminé. Dégagé, villes de deuxième ordre. Et vous n’avez aucun pouvoir pour faire changer les choses, en a décidé le GC. Continuons avec l’autre partie du titre qui est« augmenter à ce titre leur autonomie et leurs pouvoirs ». Alors là, Longueuil va être très contente et doit jubiler, car avec plus d’autonomie et de pouvoirs, elle va asservir encore plus les villes reconstituées de Brossard, Boucherville, Saint-Bruno et Saint-Lambert.

Je vois sur le site de la Ville de Longueuil en date du 27 février que celle-ci a déposé le 21 février son mémoire intitulé : « Autonomie et efficacité : faire des municipalités de véritables gouvernements de proximité ». Un autre titre qui me scandalise et qui devrait vous scandaliser. Et en plus six jours pour l’annoncer.

J’ai feuilleté ce mémoire, mais je vais m’en tenir à l’introduction en page 3 et un commentaire d’ordre général. Voici le titre de l’introduction qui est « Une nouvelle relation » et les trois premiers paragraphes qui suivent.

Le projet de loi 122 vient moderniser le rapport qu’entretient le gouvernement du Québec avec les quelque 1 100 municipalités que compte le Québec. Jadis considéré comme des créatures de l’État, le législateur entreprend aujourd’hui de reconnaître les municipalités comme des gouvernements de proximité. C’est d’ailleurs ce qu’elles ont toujours été implicitement.

 Après plusieurs années de représentations du milieu municipal, Québec passe de la parole aux actes et propose une nouvelle dynamique qui repose sur la confiance. Cette pièce législative est assurément un pas dans la bonne direction.

 Après tout, les municipalités du Québec sont imputables. Les citoyens confient aux élus de grandes responsabilités et s’attendent à ce qu’ils prennent les meilleures décisions dans l’intérêt collectif. Pour ce faire, ils doivent disposer des leviers qui, jusqu’à tout récemment, leur échappaient. Les innombrables contraintes imposées ralentissent la prise de décision, freinent l’initiative et amenuisent l’efficacité. Cette ère semble désormais révolue.

Mes commentaires :

1er paragraphe : On est toujours des créatures de l’état, n’en déplaise à Longueuil. Ça fait ambiance de la part du gouvernement central (GC) de parler officiellement de gouvernement de proximité et Longueuil vient lécher les bottes du GC pour leur dire qu’ils sont d’accord avec ce bel énoncé pompeux.

2e paragraphe : La confiance ! Les jours sont sombres à l’horizon, car si le GC fait confiance encore plus aux villes, notamment les villes-centres des agglomérations, alors les villes reconstituées risquent de déguster encore plus pour les services de proximité qui leur échappent.

3e paragraphe : Du bonbon. Longueuil se donne un bâton pour se faire battre. Première phrase : « Après tout, les municipalités du Québec sont imputables ». Oui nos villes reconstituées sont imputables pour la moitié, mais Longueuil n’est pas imputable pour notre autre moitié, car je ne peux pas exercer mon droit de vote pour sanctionner les élus en place.  Deuxième phrase : « Les citoyens confient aux élus de grandes responsabilités et s’attendent à ce qu’ils prennent les meilleures décisions dans l’intérêt collectif. ». Je ne leur ai rien confié. Oui, les Longueuillois confient aux élus de Longueuil de grandes responsabilités. Moi, NON! Non pas par entêtement, mais je ne peux pas exercer ce droit. Et les meilleures décisions dans l’intérêt collectif. Désolé : c’est l’intérêt de Longueuil qui prime à l’agglomération de Longueuil.

Ça donne des hauts le cœur de lire cela, n’est-ce pas!

Pour conclure, mon commentaire d’ordre général est le suivant. Dans ce rapport, Longueuil mentionne quatre fois l’agglomération de Longueuil dont elle est bien entendu la ville-centre et normalement « la fiduciaire » des droits de tous. Elle fait des représentations pour l’agglomération de Longueuil dans son mémoire. La question qui tue : Longueuil a-t-elle obtenu l’accord des quatre autres villes au conseil d’agglomération pour faire des représentations et écrire dans sa conclusion « À ce chapitre, Longueuil étant la ville-centre d’une agglomération de 425 000 citoyens, elle doit pouvoir faire entendre la voix de ses cinq villes à la Table Québec-municipalités. ». Je penserais que non et je crois que la voix des cinq villes est très discordante à l’agglomération de Longueuil pour que Longueuil accapare le droit de parler en leur nom à l’unisson.

Louis Mercier,
Montarvillois, demi-citoyen d’un gouvernement de proximité.

Consultation publique à Longueuil: Deux poids, deux mesures?

Voici une opinion du Lambertois Pierre Sénécal sur le projet de loi 122, que j’ai le plaisir de publier dans mon blogue. Dans la foulée de ce texte, lisez la billet de François Cardinal dans La Presse d’hier ( 21 février) intitulé : » Un chèque en blanc aux promoteurs« .  J’ai envoyé un commentaire sur cet article où je lui disais que j’étais d’accord avec lui et que « Plus la ville est grande, plus elle veut retirer la démocratie de la base citoyenne ».

Bonne lecture!

Louis Mercier,
Citoyen de Saint-Bruno-de-Montarville

(NDLR: Ce billet avait été publié la journée même sous le titre « Projet de Loi 122: Un Lambertois s’exprime ».  Ce titre n’était pas celui que l’auteur avait retenu.  Une correction a été apportée.)
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Quand vient le moment de « consulter le bon peuple de Longueuil » sur des enjeux touchant l’agglomération de Longueuil comme le logement social ou encore une « soirée d’information et d’échange » sur la rue Saint-Charles le 6 mars prochain, il n’y en a pas de problème.

Mais quand vient le moment d’organiser une véritable consultation publique concernant le projet de Loi 122 sur le gouvernement de proximité qui doit amender tant la Charte de la Ville de Longueuil au niveau local que le décret d’agglomération de Longueuil au niveau régional alors là, c’est une tout autre histoire.

Madame Parent a répondu lors de la dernière séance du conseil d’agglomération de Longueuil du 16 février dernier (au chrono de 1 h  53 min 10 sec) qu’on ne fait pas de consultation publique sur un projet de loi. Par contre, la mairesse Caroline Saint-Hilaire a clairement laissé entendre à la séance précédente du 19 janvier  (au chrono de 47 min 40 sec) que la municipalité ne se gênerait pas pour présenter un mémoire en commission parlementaire sur le projet de loi 122.

Nous avions tous une occasion inespérée de tirer les choses au clair et de s’expliquer de manière calme et civilisée sur l’avenir de nos municipalités comme sur la gouvernance régionale au niveau de l’agglomération. Mais en cette année d’élection municipale il semble que nos dirigeants municipaux soient « un peu plus nerveux » et ont décidé de rédiger derrière des portes closes un mémoire envoyé directement à Québec, point à la ligne!

C’est donc ça le concept de « transparence » à Longueuil? Quand on lit l’article dans le quotidien Le Devoir du 14 février intitulé: « Appels d’offres: Moins de mise en concurrence dans les petites municipalités Le projet de loi 122 ouvre grand la porte aux contrats de gré à gré. » Il y a vraiment pas de quoi être rassuré.

C’est d’autant plus vrai que le maire de Québec, M. Régis Labeaume, a demandé, avec la bénédiction de son collègue le maire de Montréal, à la Commission parlementaire chargée d’étudier le projet de loi 122 l’abolition du recours aux référendums municipaux afin de bloquer des projets de développement immobiliers.

Nous sommes en droit d’exiger davantage de transparence et d’imputabilité tant de la part de nos maires et mairesse que de la part de nos députés à l’Assemblée nationale du Québec qui étudie le projet de loi 122.

Je vous invite tous à communiquer auprès de votre élu municipal ainsi qu’à votre député provincial afin de leur faire savoir que cette façon de procéder est tout sauf transparente et démocratique. Ne nous y trompons pas, le projet de loi 122 aura un impact majeur sur nos municipalités comme pour l’agglomération et nous méritons un débat ouvert dans le meilleur intérêt du public et non en fonction des intérêts des « entrepreneurs entreprenants ».

Pierre Sénécal
Saint-Lambert

 

Longueuil s’adonne à des techniques d’hameçonnage et de harponnage au détriment de l’agglomération

Aux amateurs de pêche qui sont nombreux au Québec et peut-être parmi vous, ne pensez pas que je vais vous faire partager de nouvelles techniques de pêche blanche dans le fleuve St-Laurent ou que je vous lance une invitation à la pêche aux poissons des chenaux. Pour les autres, aucun risque que je vous ferre comme un brochet.

Non, je vais vous instruire dans un premier temps d’un nouveau sport pratiqué dans la grande toile de l’internet où des gens ou organismes avec des intentions malveillantes veulent vous détourner, donc vous hameçonne ou vous harponne pour s’assurer que vous ne leur échappez pas et vous arnaque ensuite.  Longueuil pratique ce nouveau sport depuis un certain temps au détriment de l’agglomération.

Selon le site www.linternaute.com, le terme hameçonnage est utilisé pour faire référence à une pratique courante sur internet qui consiste à envoyer un message destiné à amener une personne à se connecter sur un site et fournir des informations confidentielles. Pour le harponnage, je vous renvoie à sa définition dans Wikipedia. En somme, c’est comme l’hameçonnage, mais c’est plus ciblé.  Si on veut rester avec une définition un peu plus classique de ces nouvelles techniques dans l’internet, je dirais que la Ville de Longueuil fait de l’usurpation d’identité. Les victimes : Boucherville, Brossard, Saint-Bruno et Saint-Lambert.

Suivez-moi bien. Mettez-vous dans la peau d’une jeune personne en affaires, prospère dans sa région (vous vous prénommez Claude, homme ou femme comme vous le voulez), qui souhaite s’établir sur la Rive-Sud de Montréal afin d’asseoir la croissance de son modèle d’affaires. Claude avait rencontré Mme St-Hilaire dans un cocktail qui lui a dit «  L’agglomération de Longueuil répondra à vos attentes par son dynamisme et son harmonie entre les cinq villes qui la constituent. C’est plus de 400 000 habitants. De plus, un aéroport, la 30, la 20 et la 10 à proximité, un pôle universitaire, un métro….. » . Elle lui en met plein la vue.

Deux semaines plus tard, Claude, féru(e) en informatique et adepte de l’internet, ouvre un moteur de recherche et tape «  Agglomération Longueuil ». Après avoir écarté Wikipedia et le blogue d’un citoyen intitulé « agglomerationlongueuil.ca », elle clique sur ce qui semble être le site de l’agglomération de Longueuil. Elle atterrit dans la page d’accueil de la Ville de Longueuil que voici :

C’est un joli damier de gros boutons réparti sur trois lignes et six colonnes, bien fait et conçu principalement pour les utilisateurs de tablettes ou de téléphones.  Rapidement, Claude clique sur le premier bouton qui justement l’intéresse soit celui de « Agglomération de Longueuil » avec l’icône de la sphère sillonnée de méridiens et de parallèles.

Clic! Voici la page suivante.

Bon! Joli damier encore. Maintenant il faut lire un peu plus. «  Service de police, Sécurité incendie, Transports, Évaluation foncière …….. Longueuil économique ». Bien sûr, c’est ici qu’on clique sur ce dixième bouton.

Clic! Voici la page. (Comme elle est très longue,  je n’affiche ici que le haut).

Maintenant soyez bien attentif, car Longueuil vient de vous ferrer et va subtilement mouliner pour vous amener dans son bateau. Dans la peau de Claude, vous lisez la page de haut en bas et vous êtes impressionné(e) avec tout ce qui est là : la carte des cinq villes, l’aéroport, la place du métro….. On vous en met plein la vue! La roulette de votre souris tourne à fond. VOUS ÊTES ÉBLOUI(E) ET CONVAINCU(E). Dans l’encadré à la fin, on vous invite à appeler M. Patrick Savard, le directeur général (dans votre tête, le dg de l’agglomération de Longueuil bien entendu) ou de lui écrire. Voici cet encadré.

Voilà! Vous avez mordu à l’hameçon au début de cette page et à la fin, vous avez été harponné(e) par l’invitation d’appeler le dg de Longueuil.

Maintenant, je vais vous expliquer ce que Longueuil fait pour tromper l’investisseur.

En réalité, il n’y a pas de site de l’agglomération de Longueuil (j’en réclame un depuis le début de ce blogue en janvier 2016). L’agglomération de Longueuil n’existe pas comme me l’a dit le dg de Longueuil. C’est une table décisionnelle de la Ville de Longueuil où les maires des quatre autres villes ont un droit de vote. Arrêtons ici sur ce qu’est l’agglo sinon on n’en finira pas mais si vous voulez comprendre un peu plus la « patente », écrivez-moi.

Quand on entre dans la page de la Ville de Longueuil comme l’a fait Claude et qu’on clique sur le gros bouton «  Agglomération de Longueuil », on est toujours dans le site de la ville de Longueuil mais dans une vitrine de bouton de compétences uniquement de l’agglo. En cliquant ensuite sur le bouton « Longueuil  économique », on vous aiguille tout simplement sur la page « Longueuil  économique » de la Ville car il n’y a pas de page qui existe pour l’agglomération. Cette page-là est la même que celle que vous auriez eue si, une fois entré dans le site de la Ville de Longueuil au tout début, vous aviez cliqué sur «  Économie et entreprises »   (icône avec le diagramme et la courbe fléchée vers le haut) que voici:

puis ensuite dans la page suivante de cette partie du site, vous aviez cliqué sur le même bouton « Longueuil  économique ». En passant, Longueuil a tout mis sur la page d’accueil pour que son citoyen retrouve tous les services de la ville, même ceux de compétence d’agglomération: bouton Taxation et rôle d’évaluation, bouton Service aux citoyens, bouton Sécurité publique pour en nommer quelques-uns. Longueuil amalgame les deux champs de compétences.

Comme vous êtes un résidant d’une ville liée de l’agglomération de Longueuil et non un « étranger » et néophyte, vous comprenez maintenant que lorsque Claude a cliqué sur ce bouton « Longueuil  économique », il (elle) ne s’est pas attardé à la première phrase en caractère gras «  Longueuil fait partie de l’agglomération de Longueuil ». (Retournez à la copie écran ci-dessous; je ne l’avais pas encerclé volontairement). Quand, j’ai lu cela en septembre dernier, je me suis dit que c’était une vérité de La Palice que «  Longueuil fait partie de l’agglomération de Longueuil ». Puis, j’ai trouvé cela bizarre que ni Boucherville, Brossard, Saint-Bruno et St-Lambert ne soit mentionné explicitement et qu’à la fin, on dirige le lecteur vers le dg de Longueuil plutôt que le DEL, qui est justement responsable du Développement économique de Longueuil. Après avoir navigué de gauche à droite dans le portail de la ville, j’ai découvert la supercherie.

SCANDALEUX! INACCEPTABLE! IMMORAL! ÉCŒURANT! HONTEUX! VICIEUX! Longueuil détourne pour son bénéfice le patrimoine collectif de l’agglomération qu’on veut créer par cette « entité », artificielle sur papier, mais réel pour ceux qui veulent y croire ou qui ne comprennent pas la réalité de ce monstre créé par le gouvernement Charest de l’époque et maintenu en vie par le gouvernement actuel. Après le détournement pour son bénéfice propre, de l’Orchestre symphonique de Longueuil que j’ai soulevé dans ce blogue et qui est une compétence d’agglomération, après la présence du projet de rapport de RCGT sur le site de l’agglo pendant trois mois tout en faisant croire encore au lecteur en ce moment que le rapport est final et que j’ai demandé de corriger, voilà qu’on ajoute maintenant le détournement par Longueuil du développement économique de l’agglomération, à son avantage.

On comprend maintenant pourquoi Mme St-Hilaire est si fière du développement de sa ville en 2016 ( voir son discours introductif au tout début de la séance du conseil de la Ville de Longueuil du 15 novembre 2016 à 3 min 10 secondes) et comme elle le dit : » …de plus en plus d’entreprises choisissent Longueuil comme terre d’accueil…. ».  Et on comprend maintenant pourquoi, lors du dépôt du budget 2017 de l’agglomération le 8 décembre dernier lors d’une séance extraordinaire du conseil d’agglomération,  Mme Sylvie Parent était radieuse de dire que la quote-part de Longueuil avait augmenté dans l’agglo grâce « ….à sa vitalité économique »  (passage à 20 min 50 sec). Avec un tel gréement de pêche dans le site de la ville de Longueuil, la pêche ne peut être que miraculeuse.

Longueuil s’enrichit grâce à sa position dominante et la confusion qu’elle entretient, bénie par le gouvernement central à Québec. Difficile la démocratie municipale en 2017 !

Louis Mercier,
Citoyen de Saint-Bruno-de-Montarville

Agglomeration Longueuil valide la robustesse de la plateforme de son blogue

Trois lecteurs assidus de mon blogue m’ont demandé dernièrement si j’étais rentré du long congé des Fêtes ou si j’étais en panne d’idées, car ils n’avaient rien reçu du blogue   AgglomerationLongueuil  , deux depuis décembre et un depuis novembre. C’est plutôt troublant de se faire dire cela mais gratifiant de savoir qu’on suit l’état de santé de mon blogue.

Puisque j’ai publié un billet le 25 janvier, il faut croire que certaines personnes ne l’auraient pas reçu. Il n’y a pas lieu d’épiloguer sur les problèmes techniques probables qui n’offrent aucun intérêt et je vous fais grâce de mes hypothèses; mon fils ingénieur informatique, friand de ces situations tordues, sera mis à contribution si cela s’avère exact.

Donc, je dois solliciter votre contribution qui sera toute simple pour la très grande majorité d’entre vous. D’ailleurs, à ce point-ci, vous avez fait 95% du travail.

Étape A : Si vous avez reçu un courriel le 25 janvier dernier annonçant mon dernier billet  Autre leçon de démocratie pour Longueuil à apprendre, que vous l’ayez lu ou non, alors je vous remercie du fond du cœur de vous compter comme inscrit à ce blogue. Maintenant, vous pouvez interrompre votre lecture au bout de cette phrase car c’est le 5% qui manquait et sachez qu’un prochain billet suivra sous peu qui ne « sera pas piqué des vers ».  Au revoir.

 

Étape B: si vous êtes au moins un de ces trois lecteurs ou tout autre lecteur qui n’avez pas reçu un courriel le 25 janvier dernier vous indiquant qu’un billet intitulé Autre leçon de démocratie pour Longueuil à apprendre  avait été publié dans le blogue à cette même date, mais qu’heureusement (et je croise les doigts)  vous recevez celui-ci, alors écrivez-moi à:
                        « louis@agglomerationlongueuil.ca«
ou une de mes autres adresses courrielles que vous connaissez pour m’en confirmer la bonne réception. Ceci va me permettre de diagnostiquer les paramètres du blogue et voir si je dois passer à un niveau supérieur.

Merci encore une fois à tous de votre assiduité.

Louis Mercier,
Citoyen de Saint-Bruno-de-Montarville